Dernière mise à jour MARS 2024

Montée de la « triple épidémie » – Foire aux questions et actions préventives

Préparez-vous à la « triple épidémie » alors que l’influenza, la COVID-19 et le VRS convergent, ce qui pose des risques importants pour la santé. Apprenez des stratégies clés pour prévenir la propagation de la maladie, du lavage efficace des mains à l’utilisation de produits de nettoyage compatibles.

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Alors, qu’est-ce que c’est exactement la « triple épidémie » dont j’entends parler sans cesse?

La « triple épidémie » fait référence à la convergence de trois maladies à la fois : l’influenza, la COVID-19 et le virus respiratoire syncytial (VRS). Ces maladies peuvent chacune être très graves en soi, en particulier pour les populations à risque telles que :

L’adoption de mesures de « bon sens », comme la pratique d’une bonne hygiène des mains et des surfaces, peut aider les personnes et les organisations à limiter la propagation de la maladie.

  • les très jeunes
  • les personnes très âgées
  • ceux qui sont immunodéficients

Une fréquence élevée de ces maladies à des périodes similaires peut submerger les systèmes hospitaliers d’une manière qui compromet les soins.1

Comment ces virus se propagent-ils le plus souvent?

Bien que la COVID-19 se propage par les gouttelettes respiratoires et les aérosols, le VRS peut facilement se propager à travers les surfaces contaminées. Lorsqu’il est associé aux risques de contracter le VRS chez les très jeunes, qui sont plus enclins à toucher des objets et à se toucher la bouche, il devient extrêmement important de désinfecter correctement les surfaces pour aider à protéger contre la propagation du VRS.

L’inluenza peut également se propager à travers les gouttelettes respiratoires et les surfaces contaminées, de sorte qu’une bonne hygiène de surface est une arme importante dans la lutte contre ces maladies.2

Quelles sont les défenses pratiques contre ces types de maladies?

Étant donné que toutes ces maladies impliquent le système respiratoire, il est important de considérer comment les symptômes influencent la propagation de la maladie. Lorsque les gens toussent et éternuent dans leurs mains, ces mêmes mains touchent les surfaces. Des mains de nouvelles personnes peuvent toucher la même surface, captant les germes et pouvant entraîner une infection chez un nouvel hôte (voir la figure 1).

L’adoption de mesures de « bon sens », comme la pratique d’une bonne hygiène des mains et des surfaces, peut aider les personnes et les organisations à limiter la propagation de la maladie. L’encouragement et l’approvisionnement de fournitures pour faire face à la fréquence accrue du lavage et de la désinfection des mains aident à s’assurer que l’hygiène des mains reste une priorité absolue.

En outre, se concentrer sur le nettoyage et la désinfection de routine fréquents, en particulier sur les surfaces fréquemment touchées, peut aider à atténuer davantage la propagation des germes.

Tripledemic chart

Figure 1 : Comment les mains et les surfaces interagissent pour propager la maladie

Différents protocoles de lavage des mains ou de désinfection des mains sont-ils nécessaires en ce qui concerne ces organismes?

Non, mais il est crucial de réaliser que la plupart des gens ne se lavent pas les mains correctement.3 Des études ont montré :

« La personne ordinaire touche son visage de quinze à vingt-trois fois par heure. Et, en moyenne, ne se lave les mains qu’environ 10 fois par jour. Cela laisse des centaines d’occasions quotidiennes de transférer des bactéries et des virus des surfaces de travail, des surfaces de la maison et des personnes dans nos vies directement à notre nez et à notre bouche ».4

Par conséquent, renforcer l’hygiène des mains de base et aider les gens à comprendre le pourquoi derrière chaque étape peut être une bonne étape préventive pour aider à arrêter la propagation de la maladie.5

La personne ordinaire touche son visage de quinze à vingt-trois fois par heure. Et, en moyenne, ne se lave les mains qu’environ 10 fois par jour. Cela laisse des centaines d’occasions quotidiennes de transférer des bactéries et des virus des surfaces de travail, des surfaces de la maison et des personnes dans nos vies directement à notre nez et à notre bouche.4

Kimberly-Clark Professional fabrique-t-elle des produits d’hygiène des mains qui pourraient aider à arrêter la propagation des germes?

Oui, Kimberly-Clark Professional dispose d’une large gamme de produits d’hygiène des mains et de soins de la peau, y compris du savon et du désinfectant pour les mains, conçus pour répondre aux besoins des bureaux, des écoles, des usines, des restaurants, des lieux à fort trafic et des établissements d’accueil et de soins de santé.

Nous fabriquons des produits efficaces en mettant fortement l’accent sur la douceur de la peau afin que l’inconfort n’ait pas d’impact négatif sur l’hygiène des mains. Ces produits sont également scellés de manière hygiénique afin que l’hygiène ne soit pas compromise pendant le processus de remplissage des distributrices.

Kimberly-Clark Professional fournit également des produits de salle de bain de haute qualité tels que des essuie-tout à usage unique pour favoriser le séchage hygiénique des mains après le lavage. Étant donné que les mains mouillées propagent plus de germes que les mains sèches, il est important de les sécher soigneusement.6

Qu’en est-il du nettoyage des surfaces? Quels biocides agissent contre ces virus?

En ce qui concerne l’entretien des surfaces, l’utilisation de produits tueurs de germes (biocides) est essentielle. Un aspect important dont il faut tenir compte est la liste des organismes tués par l’ingrédient actif du produit, qui se trouve sur l’étiquette du produit.

Vous y trouverez également des instructions sur la façon d’utiliser correctement le produit pour tuer des germes spécifiques, telles que le temps dont la formule a besoin pour demeurer à la surface.

Lorsqu’on envisage de désinfecter les surfaces contre les organismes associés à la « triple épidémie », il est essentiel de rechercher les organismes suivants sur les étiquettes des produits :

  • Influenza (les étiquettes peuvent préciser une souche comme « Influenza A » ou « H1N1 »)
  • Virus respiratoire syncytial bovin
  • SRAS-CoV-2, (il s’agit du virus qui cause la COVID-19)

Les produits de nettoyage sont-ils importants?

Oui, tous les produits de nettoyage ne sont pas compatibles avec tous les types d’ingrédients actifs.

Par exemple : une étude récente a montré que, lorsque des désinfectants à base de composés d’ammonium quaternaire étaient utilisés avec des chiffons cellulosiques trempés dans un seau, l’efficacité de la désinfection a été réduite d’environ 80 % en seulement quatre heures.7 De même, les chiffons en microfibre ne sont généralement pas compatibles avec les désinfectants à base d’eau de Javel.8 Pour s’assurer que les protocoles de nettoyage offrent une expérience de désinfection cohérente, considérez le rôle que les matériaux de nettoyage peuvent jouer.

Kimberly-Clark Professional fabrique-t-elle des produits d’hygiène de surface qui pourraient aider avec la « triple épidémie »?

Oui, nous le faisons! Kimberly-Clark Professional a le système d’essuyage de seau fermé n° 1 en Amérique du Nord, WypAll® WetTask. WetTask propose une variété de codes compatibles avec les produits chimiques de désinfectant courants et un guide pour aider à créer la confiance dans le choix de la bonne solution.

Ce système d’essuyage humide personnalisable permet aux utilisateurs de créer leurs propres lingettes présaturées avec leurs solutions biocides préférées et fiables. WetTask dispose également d’un outil de sélection de produits qui permet de jumeler facilement la bonne feuille de base avec votre chimie de désinfection préférée.

Quels que soient les produits choisis, les clients doivent s’assurer qu’ils utilisent des produits chimiques et des produits portant des étiquettes qui mentionnent spécifiquement l’influenza, le VRS et le SARS-CoV-2 sur la liste des organismes tués.

En matière d’hygiène des mains et des surfaces, Kimberly Clark Professional peut répondre à vos besoins. Demandez à votre représentant professionnel Kimberly-Clark de vous aider à choisir la bonne solution d’hygiène pour votre entreprise.



1Vu, T. (2023). Navigating the Tripledemic: Influenza, RSV, and COVID-19 in the Operating Room. (Naviguer dans la triple épidémie : Influenza, RSV et COVID-19 dans la salle d’opération.) Infection Control Today. (Contrôle des infections aujourd’hui). https://www.infectioncontroltoday.com/view/navigating-tripledemic-influenza-rsv-covid-19-operating-room
2Macmillan, C. (2023). ‘Tripledemic:’ What Happens When Flu, RSV, and COVID-19 Cases Collide?. (« Triple épidémie » : Que se passe-t-il lorsque les cas d’influenza, de VRS et de COVID-19 entrent en collision?.) Yale Medicine. https://www.yalemedicine.org/news/tripledemic-flu-rsv-and-covid-19
3Borchgrevink, C., Cha, J.M., Kim, S.H. (2013). Hand Washing Practices in a College Town Environment. (Pratiques de lavage des mains dans un environnement de College Town.) Journal of Environmental Health. (Revue de Santé Environnementale.) 75 (8). https://www.jstor.org/stable/26329601
4Roberts, N.F. (2019). After All These Years, You’re Washing Your Hands The Wrong Way. (Après toutes ces années, vous vous lavez les mains de la mauvaise manière.) Forbes. https://www.forbes.com/sites/nicolefisher/2019/12/22/after-all-these-years-youre-washing-your-hands-the-wrong-way/?sh=29bdbf5518f3
5Understanding the whys of hand hygiene. (Comprendre le pourquoi de l’hygiène des mains.) (Août 2023). Kimberly-Clark Professionnel. https://www.kcprofessional.com/fr-ca/workplace-insights/health-and-safety/hand-hygiene-basics-white-paper
6 Patrick, D. R., Findon, G., et Miller, T. E. (1997). Residual moisture determines the level of touch-contact-associated bacterial transfer following hand washing. (La présence d’humidité résiduelle détermine le niveau de transfert bactérien associé au contact tactile après le lavage des mains.) Epidemiology and infection (Epidémiologie et infection), 119 (3), 319-325. https://doi.org/10.1017/s0950268897008261
7 Boyce, J. M., Sullivan, L., Booker, A., et Baker, J. (2016). Quaternary Ammonium Disinfectant Issues Encountered in an Environmental Services Department. (Problèmes de désinfectant pour l’ammonium quaternaire rencontrés dans un département des services environnementaux.) Infection control and hospital epidemiology (Contrôle des infections et épidémiologie hospitalière), 37 (3), 340-342. https://doi.org/10.1017/ice.2015.299
8 Pagenkopf, G. (2011). What’s Your Microfiber Program?. (Quel est votre programme de microfibre?.) Cleaning Maintenance and Management Online. (Entretien et gestion du nettoyage en ligne.) https://cmmonline.com/articles/whats-your-microfiber-program